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La gazette de SUR n'VET

Vous trouverez  ici un certain nombre d'informations ainsi que des conseils que nous jugeons utiles pour vos compagnons. Etant à votre écoute nous serons heureux d'y inclure des thèmes qui vous sont chers. Contacter nous par mail , à l'aide du formulaire joint dans la page suivante.

L'adoption d'un nouvel animal

Vous venez d'acquérir un nouveau compagnon et les premiers moments sont toujours source de beaucoup de joie mais parfois aussi d'inquiétude ou d'interrogation.

 

L'arrivée dans un nouvel environnement peut être stressant ou fatiguant pour un chiot ou un chaton, il faut veiller à le laisser se reposer et à ne pas le stimuler en permanence. Les jeunes animaux ont besoin de se reposer fréquemment, ils alternent souvent des phases de jeu intense et des phases de sommeil profond.

 

Tout changement alimentaire provoque un stress sur le système digestif de nos compagnons, il se peut donc que  vous observiez des troubles digestifs les premiers jours, ceux- ci ne sont pas forcément signe de gravité mais mieux vaut nous les signaler.

Les premières nuits peuvent également être difficiles car source de stress pour votre compagnon qui se retrouve séparé de sa mère et de sa fratrie, des conseils spécifiques peuvent vous être prodigués par notre équipe. Parfois l'utilisation de phéromones d'apaisement (en diffuseur ou collier) peut être nécessaire pour aider à passer ce cap délicat.

 

Une visite d'adoption chez un vétérinaire est souvent nécessaire dans la semaine qui suit l'adoption, celle-ci permettra de contrôler ou de mettre à jour le statut vaccinal de votre animal, de vérifier son état de santé, ses documents officiels et de répondre à toutes vos questions. 

La vaccination

La vaccination permet de protéger votre compagnon (chien, chat, furet, lapin) contre de nombreuses maladies virales, bactériennes ou parasitaires.

 

La primo-vaccination qui s'effectue en général sur un jeune animal permet de mettre en place son immnunité. Elle consiste en plusieurs injections (1 à 3 en fonction des valences) et est particulièrement importante car elle servira de base immunitaire à votre compagnon durant toute sa vie.

 

Des rappels semestriels, annuels ou tous les 3 ans (pour le nouveau vaccin rage chez le chat notamment) auront ensuite lieu pour maintenir cette immunité à un niveau optimal.

 

La vaccination varie en fonction de l'espèce et du mode de vie de votre animal, le protocole vaccinal sera donc adapté par le vétérinaire et sera discuté avec la famille.

 

La rage est une maladie transmissible à l'homme. Après vingt cinq années de lutte, la rage à quasiment disparue en France. Néanmoins des foyers sporadiques appraissent de temps en temps, et la légistlation qui la concerne est toujours d'actualité. Sachez qu'un jour de retard  sur le rappel annuel , annule aux yeux de la loi, la valadité du vaccin. Ceci peut exposer votre chien à des graves conséquences. Soyez donc attentifs à ne pas dépasser la date de rappel.

 

 

 La vermifugation

La vermifugation permet de traiter votre animal contre les parasites internes qu'ils soient digestifs ou respiratoires.

Il existe de nombreux vers digestifs ou respiratoires: les vers ronds ou nématodes, les vers plats ou cestodes notamment.

 

Les symptômes les plus fréquemment rencontrés en cas de parasitisme interne sont la diarrhée, le ballonement intestinal (surtout chez le chiot et le chaton), le prurit anal (signe du traineau), la toux, l'amaigrissement (en cas de parasitisme intense).

Les jeunes animaux sont très souvent porteurs de vers et un programme de vermifugation régulier sera mis en place lors de l'adoption.

Chez l'animal adulte la fréquence de vermifugation est fonction de son mode de vie, et de l'environnement familial (elle varie entre 1 et 4 fois par an). En effet de nombreux parasites intestinaux sont des zoonoses, c'est à dire transmissibles à l'homme. Les enfants, les femmes enceintes et les personnes immuno-déprimées sont particulièrement à risque.

 

Tous les vermifuges ne sont pas équivalents, il faut regarder leur composition c'est à dire la ou les molécules qu'ils contiennent. Ce sont ces molécules qui déterminent le spectre d'action du vermifuge et donc son activité sur tel ou tel parasite.

Attention certaines molécules peuvent être toxiques sur certaines espèces  ou certaines races (Lapin, chats, chiens de race Colley, Berger Australien ou apparenté...).

Nous vous conseillons de contacter votre vétérinaire qui pourra vous conseiller au plus juste sur la meilleure molécule à utiliser et sur la fréquence de vermifugation de votre compagnon.

Les maladies transmises par les tiques

Chez le chien la plus connue est la piroplamose (ou babésiose), mais il en existe d'autres notamment les ehrlichioses, les anaplasmoses, l'hépatozoonose.

 

Chez le chat la plus fréquente est l'hémobartonellose (rebaptisée récemment mycoplasmose), des cas d'ehrlichiose ont également été décrits ainsi que plus rarement des cas d'hépatozoonose et de piroplasmose.

 

La maladie de Lyme (ou borréliose) bien connue chez l'homme semblerait être beaucoup moins pathogène chez le chien que ce que l'on imaginait, selon de récentes études 95% des chiens séropositifs ne présentent aucun symptômes.

 

Ces différents parasites transmis par les tiques se retrouvent dans les cellules du sang (globules rouges pour les piroplasmes, cellules mononuclées pour les ehrlichias, plaquettes pour les anaplasmas), ou à la surface des globules rouges pour mycoplasmas.

 

Les symptômes sont en général peu spécifiques : anorexie, abattement, fièvre, pâleur des muqueuses, ictère....

Le diagnostic passe donc essentiellement par des examens de sang, numération et formule sanguine, frottis sanguin, PCR (technique de recherche par amplification de l'ADN).

 

La prévention repose sur la lutte contre les tiques et sur la vaccination.

Cependant seule la piroplasme bénéficie d'une vaccination. 

Celle-ci se met en place chez le chien à partir de l'âge de 5 mois, de préférence au début du printemps, avant la période la plus à risque. La primo-vaccination consiste en 2 injections la première année, puis un rappel annuel (parfois tous les 6 mois chez les animaux à risque) est réalisé.

 

De nombreux produits sont utilisés pour tuer ou repousser les tiques (sprays, colliers, pipettes....) et se révèlent efficaces s'ils sont utilisés correctement.

Cependant inspecter régulièrement son animal et enlever les éventuelles tiques (qui seraient malgré tout parvenues à se faufiler jusqu'à lui...) diminue considérablement le risque de transmission de maladies. 

 

 

La leptospirose

La leptospirose est une maladie dûe à des parasites, les leptospires, dont il existe 17 espèces plus ou moins dangereuses et spécifiques d'espèces.

 

Cette maladie touche principalement le chien, mais c'est également une zoonose, c'est à dire une maladie transmissible à l'homme.

 

Cette maladie est transmise par les morsures et urines de rongeurs, et les chiens se contaminent au contact d'eau ou les urines souillée (en buvant ou en se baignant).

 

La leptospirose touche les reins et le foie des chiens infectés. 

Il existe des formes suraiguës pouvant entraîner le décès de l'animal en quelques heures.

Le plus souvent on observe des formes aiguës et les symptômes vont apparaitre en quelques jours. On observe tout d'abord de la fièvre, un abattement, une baisse d'appétit, des douleurs articulaires ou musculaires, des troubles digestifs... Puis une insuffisance rénale s'installe entrainant une augmentation de la soif et du volume urinaire, des vomissements, une déshydratation,des ulcères buccaux (secondaires à l'urémie). Dans 20% des cas une insuffisance hépatique s'installe pouvant entraîner un ictère (ou jaunisse). L'évolution peut se faire vers une forme chronique d'insuffisance rénale ou hépatique..Depuis queleques temps d'autres formes sont apprues, dont la forme hémorrhagique pulmonaire.

 

Le traitement consiste en l'administration d'antibiotiques pour éliminer les bactéries, et nécessite en général une hospitalisation pour prendre en charge les problèmes rénaux et hépatiques.

 

La prévention passe par la vaccination. La vaccination contre la leptospirose est incluse dans les programmes de vaccination de routine. 

 

Depuis cet année un nouveau vaccin à été élaboré, afin d'immuniser nos chiens contre quatre souches de Leptospires dont la redoutable

Leptospira Australis.

Cette dernière est devenue en quelques années la plus virulente de bactérie, repsonsable le mort de plusieurs de nos compagnons.

Ce nouveau vaccin necessite deux injections pour la première administration, puis un rappel annuel.(Et non plus deux fois par an.

 

 La vaccination du lapin

On vaccine les lapins contre la myxomatose et la maladie hémorragique (VHD).

Il s'agit de 2 maladies graves pour lesquelles aucun traitement n'existe.

 

La transmission se fait par les insectes piqueurs et entre lapins, de ce fait même les lapins d'appartement peuvent être touchés.

 

La myxomatose est une maladie virale présente sous 3 formes principales: la forme nodulaire (nodules, conjonctivite, oedème des paupières), la forme respiratoire (pneumonie, jetage nasal), la forme cutanée (encore appelée maladie des boutons rouges).

 

La maladie hémorragique (VHD) est une maladie virale. Les symptômes sont violents (anorexie, fièvre, difficultés respiratoires, diarrhée) et les animaux meurent en quelques jours dans 100% des cas.

 

La vaccination constitue la meilleure protection.

Elle se pratique chez des lapins en bonne santé  à partir de l'âge de 5 semaines.

Depuis 2012 un nouveau vaccin non adjuvé et associant ces 2 maladies est disponible. Les rappels ont lieu une fois par an au lieu de deux fois apparavant.

 

La consultation vaccinale est également le moment de faire le point sur l'état de santé de votre lapin (poids, alimentation, état des dents....).

 

Puces , poux, tiques et moustiques

 

De nombreux parasites externes peuvent être retrouvés sur nos animaux de compagnie, certains bien connus (puces, tiques, moustiques, poux), d'autres beaucoup moins (demodex, otodectes, sarcoptes, cheylétielles...).

 

Il est fréquent de retrouver certains parasites lors de l'adoption d'un nouvel animal (puces, gale d'oreille appelée gale otoédrique, démodécie chez le chiot...), un traitement curatif adapté sera alors mis en place par votre vétérinaire.

 

L'objectif de la lutte anti-parasitaire est de lutter contre les infestations parasitaires et contre les maladies vectorielles (c'est à dire les maladies transmises par ces parasites, cf paragraphe sur les maladies transmises par les tiques et leishmaniose) en mettant en place un traitement préventif adapté à chaque animal et à chaque situation. 

 

Différents traitements existent, ceux-ci varie par leur composition et par leur présentation (sprays, colliers, pipettes ou spot-on, comprimés...). 

En fonction du mode de vie de votre animal (sorties en forêt, baignades, vacances dans le Sud ou à l'étranger....) et de sa race votre vétérinaire vous conseillera au mieux sur le traitement le plus adapté.

 

La leishmaniose

La leishmaniose est une maladie parasitaire dûe à Leishmania Infantum et transmise par la piqûre de moustiques  appelés phlébotomes. Elle touche principalement le chien, mais c'est également une zoonose c'est à dire une maladie transmissible à l'homme.

 

Cette maladie est particulièrement présente dans la partie sud de la France ainsi que le sud de l'Europe (Espagne, Italie, Portugal...). On note cependant une nette progression de cette maladie dans le nord ouest ces dernières années.

 

Les symptômes sont très variés: abattement,amaigrissement, augmentation de la taille des ganglions, lésions cutanées variées (notamment autour des yeux), augmentation de la taille des griffes, troubles nerveux, oculaires, digestifs, rénaux...

Les symptôme peuvent apparaitre dans les mois qui suivent l'infection ou parfois bien plus tardivement quand l'animal va veillir ou à la faveur d'un stress.

 

La leishmaniose est une maladie grave, les traitement sont lourds et contraignants. Ils permettent de contrôler la maladie mais pas de l'éliminer.

La prévention est donc essentielle. Elle passe par l'utilisation d'insecticides spécifiques pour les chiens voyageant dans les régions à risque.

Pour les chiens se rendant régulièrement dans ces régions la vaccination, disponible depuis 2011, est vivement recommandée en plus de l'utilisation d'anti-parasitaires spécifiques.

Cette vaccination se fait à partir de l'âge de 6 mois chez des chiens non infectés. Il peut donc être nécessaire de dépister votre chien au préalable. Elle doit être débutée au moins 3 mois avant le voyage dans une zone à risque.

 

 

 

 

 

 

 

 

La leucose féline

La leucose féline est due au virus FeLV, il s'agit d'un rétrovirus (virus à ARN) qui a la propriété de s'intégrer au génome des cellules qu'il infecte.

 

La contamination se fait de manière directe entre 2 chats, en effet le virus est fragile et ne résiste pas dans le milieu extérieur.

Tous les liquides corporels contiennent et transmettent le virus: la salive (morsures, toilettage mutuel, gamelle commune), les urines et selles, le sang, le sperme et les sécrétions vaginales (saillies), le lait maternel.

L'infection in utero (pendant la gestation) existe mais aboutit généralement à des avortements ou des morts-nés. Les chatons qui naissent non infectés se contaminent ensuite via le lait.

Les chats qui sortent et ceux qui vivent en collectivité sont donc les plus touchés.

 

Après contamination, le virus va se multiplier dans l'organisme. Il s'ensuit une phase aiguë et transitoire de la maladie qui passe en général inaperçue (fièvre, fatigue, gros ganglions), aprés quoi le chat va vivre sans symptôme pendant des mois ou des années avant le déclenchement de la leucose à proprement parler.

 

Le symptôme principal est un déficit de l'immunité (comme dans le cas du HIV chez l'homme) qui va conduire le chat infecté à attraper toutes sortes de maladies (coryza, gastro-entérites...). 

L'immunité anti-tumorale étant également touchée, les chats infectés sont prédisposés à développer des tumeurs (lymphome, leucémie). Environ 30% des chats infectés développeraient une tumeur.

 

Le diagnostic se fait en général à la clinique à partir d'une simple prise de sang, et à l'aide de tests rapides ELISA qui détectent une protéine du virus.

 

Des traitements chroniques à base d'interféron peuvent être mis en place pour renforcer l'immunité et diminuer la quantité de virus dans l'organisme, les résultats sont cependant aléatoires et aucune guérison n'est possible.

 

La meilleure prévention contre la leucose féline est la vaccination. 

Elle peut s'effectuer à partir de l'âge de 8 semaines. Deux injections à 3-4 semaines d'intervalle auront lieu la première année, puis un rappel annuel sera réalisé.

 

Aucun risque de transmission à l'homme et au chien a été mis en évidence.

 

La stérilisation :
pour ou contrepour ou contre

Pourquoi stériliser mon chien ou ma chienne?

 

POUR:


Evite les désagréments des chaleurs.
Evite la gestion d’une gestation et d’une mise bas ou d’un avortement.
Protège votre chienne ou chatte  contre les cancers de la mamelle  .

Protège contre les infections de l’utérus (pyomètre) qui peuvent être fatales si elle ne sont pas opérées à temps.


Evite les fugues et les conflits causés par la sexualité chez le mâle.
Diminue la taille de la prostate et évite ainsi les troubles prostatiques chez le chien.

 

CONTRE
Nécessite une anesthésie générale.
Le coût financier.
La prise de poids.
Rares cas d’incontinence urinaire chez la chienne (fuites nocturnes dans moins de 5% des cas), qui se traitent cependant très bien.
 
  
Chez la femelle, les avantages font basculer la décision vers une stérilisation précoce (avant les premières chaleurs ou avant un an). On bannira de toute façon les contraceptifs qui dérèglent les cycles hormonaux et précipitent l’apparition de tumeurs mammaires et de pyomètres.

Chez les mâle nous le recomendons à tous les matous car cela baisse sensiblement leurs comportement de marquage urinaire et les bagarres incessantes.

 

Lorsque la décision chirurgicale est prise, on portera une attention toute particulière à la gestion de l’anesthésie et de la douleur afin de minimiser ces inconvénients (le risque anesthésique reste très faible sur des animaux jeunes et en pleine santé).

En ce qui concerne la prise de poids, un suivi régulier par pesée et l’utilisation d’aliments spécialisés pour animaux stérilisés permet de maintenir votre animal en pleine forme.
 

 

Faire avaler un comprimé à son chat

(humour)

  1. Prenez le chat dans le creux de votre bras gauche comme vous le feriez pour un bébé. Mettez l’index et le pouce de chaque côté de la gueule et exercez une légère pression tout en tenant le comprimé dans la main droite. Quant la bouche s’ouvre, lancez la pilule. Laissez le chat fermer la bouche et avaler.

  2. Ramassez le comprimé sur le sol et récupérez le chat derrière le canapé et recommencez.

  3. Récupérez le chat sous le lit et jetez le comprimé qui est tout ramolli.

  4. Prenez un nouveau comprimé, reprenez le chat dans le creux du bras gauche en lui maintenant fermement les pattes arrières de la main gauche. Écartez les mâchoires avec force et poussez le comprimé dans le fond de la gueule avec l’index droit. Maintenez la gueule fermée pendant 10 secondes.

  5. Repêchez le comprimé dans le fond de l’aquarium, récupérez le chat au sommet de l’armoire et sollicitez l’aide de votre épouse.

  6. Agenouillez-vous, le chat fermement coincé entre vos cuisses, tout en lui tenant les pattes avant et arrière. Ignorez les grondements du chat. Demandez à votre épouse de lui ouvrir la gueule, d’y jeter le comprimé et de masser sa gorge avec vigueur.

  7. Récupérez le chat sur la tringle à rideaux. Faire une note pour songer à réparer les rideaux et recoller les morceaux du vase.

  8. Enveloppez le chat dans une serviette de bain et demandez à votre épouse de se coucher dessus en laissant la tête du chat apparente. Mettez le comprimé dans une paille, forcer la gueule du chat et souffler dans la paille.

  9. Assurez-vous que le comprimé n’est pas nocif pour les humains et buvez un verre d’eau pour chasser le goût. Pansez le bras de votre épouse et lavez le sang sur le tapis avec de l’eau et du savon.

  10. Récupérez le chat chez le voisin et prenez un autre comprimé. Coincez la tête du chat dans l’entrebâillement de la porte de l’armoire. Forcez la gueule avec une cuillère et lancez le comprimé à l’intérieur avec un élastique.

  11. Allez chercher un tournevis dans votre boîte à outils pour remonter les charnières de la porte. Appliquez-vous une compresse froide sur la joue, vérifiez la date de votre rappel antitétanique. Jetez votre tee-shirt et allez en chercher un autre.

  12. Appelez les pompiers pour récupérer le chat dans l’arbre du jardin. Excusez-vous auprès du voisin qui s’est écrasé contre un mur en essayant d’éviter le chat. Prenez le dernier comprimé.

  13. Liez les pattes avant et arrière du chat avec du fil de fer et attachez le tout au pied de la table. Mettez des gants de jardinier, ouvrez la gueule du chat avec une clé à mollette, poussez-y le comprimé suivi d’un morceau de filet de bœuf. Maintenez la tête verticale et faites couler un bon demi-litre d’eau pour dissoudre le comprimé.

  14. Demandez à votre épouse de vous conduire aux urgences et gardez votre calme pendant que le médecin vous met les agrafes aux doigts et à l’avant bras et vous retire des déchets de comprimés de l’œil droit. Sur le chemin du retour, arrêtez vous chez le marchand de meubles pour commander une nouvelle table.

  15. Appelez le vétérinaire et demandez-lui s’il fait des visites à domicile.

 

 

 

Source: http://www.afas-siamois.com/detente_humour_1.htm

 

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